En janvier, l’équipe française de Panattoni s’est encore étoffée avec l’arrivée de Julien Petit en tant que directeur du développement, et de François Bonneville comme responsable de projets. Placée à la rentrée 2021 sous la direction de Salvi Cals, celle-ci continue ainsi à se structurer avec des profils aguerris, confirmant les ambitions renouvelées dans l’Hexagone de ce poids lourd mondial du développement en immobilier industriel et logistique, et de sa branche Panattoni Europe (voir NL 3398 & 3413). Or dans la dynamique actuelle du secteur, la pompe est désormais bien amorcée d’un point de vue business : « Nous travaillons actuellement sur de nombreux projets de friches industrielles, comme la restructuration de notre site d’Allonne dans l’agglomération de Beauvais [dévoilée mi-novembre, voir NL 3442], ou d’actifs en cours d’acquisition. L’arrivée de ces deux collaborateurs très expérimentés va permettre de renforcer notre présence sur le terrain et d’accélérer notre stratégie de développement sur l’ensemble du territoire », relève Salvi Cals. En pratique, Julien Petit aura la responsabilité du sourcing et des acquisitions (fonciers, friches et bâtiments à restructurer) pour alimenter le développement de bâtiments logistiques et industriels et la réhabilitation de friches, puis assurer leur commercialisation auprès de clients utilisateurs. Formé au management à l’IAE d’Aix, ce dernier compte près de 20 ans d’expérience en pilotage de projets immobiliers, et exerçait depuis début 2018 chez JBD Expertise en tant que directeur du développement, après un parcours notamment passé par Sogaris ou PRD, entre autres. Avec une expérience toute aussi longue mais plus teintée construction (et un bagage d’ingénieur ESTP), François Bonneville sera justement en charge du suivi des travaux des projets de Panattoni sur tout l’Hexagone, de la phase de due diligence jusqu’à leur livraison. Depuis 2014, il était justement directeur de la construction chez PRD, mais a aussi précédemment exercé chez Petit Forestier, Proudreed ou Nexity et Vinci à ses débuts. MR