Les dirigeants des opérateurs de transport combiné
rail-route (TCRR) Froidcombi, T3M et VIIA considèrent que le projet d'introduction d'une tarification des sillons à la tonne viendrait pénaliser la profession, notamment ceux qui s'efforcent de mettre en place les offres ferroviaires les plus performantes possibles, avec notamment des trains longs, massifiés, de 850 mètres. Dans une lettre adressée le 9 janvier à Marc Papinutti (le directeur de cabinet de la Ministre des transports Elisabeth Borne), à Jean-Cyril Spinetta (chargé par le gouvernment d'une mission sur le modèle du transport ferroviaire) et à Bernard Roman (le président de l'Arafer , l'Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières), ils expliquent ainsi que cette « simplification abusive » reviendrait de manière absurde à avantager les locomotives circulant seules, les trains de wagons vides, très courts et peu chargés, « soit des circulations peu productives qui encombrent le réseau sans transporter de marchandises ». Parmi les « mesures de bon sens » qu'ils proposent figurent une tarification des sillons qui encourage l'exploitation de trains efficaces tant en termes de productivité que d'encombrement des réseaux, en favorisant les trains les plus lourds et les plus longs, mais aussi la pérennisation et l'amplification de l'aide au coup de pince au profit du TCRR, compte tenu de ces qualités environnementales et sociétales. JLR
Photo ©T3M
rail-route (TCRR) Froidcombi, T3M et VIIA considèrent que le projet d'introduction d'une tarification des sillons à la tonne viendrait pénaliser la profession, notamment ceux qui s'efforcent de mettre en place les offres ferroviaires les plus performantes possibles, avec notamment des trains longs, massifiés, de 850 mètres. Dans une lettre adressée le 9 janvier à Marc Papinutti (le directeur de cabinet de la Ministre des transports Elisabeth Borne), à Jean-Cyril Spinetta (chargé par le gouvernment d'une mission sur le modèle du transport ferroviaire) et à Bernard Roman (le président de l'Arafer , l'Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières), ils expliquent ainsi que cette « simplification abusive » reviendrait de manière absurde à avantager les locomotives circulant seules, les trains de wagons vides, très courts et peu chargés, « soit des circulations peu productives qui encombrent le réseau sans transporter de marchandises ». Parmi les « mesures de bon sens » qu'ils proposent figurent une tarification des sillons qui encourage l'exploitation de trains efficaces tant en termes de productivité que d'encombrement des réseaux, en favorisant les trains les plus lourds et les plus longs, mais aussi la pérennisation et l'amplification de l'aide au coup de pince au profit du TCRR, compte tenu de ces qualités environnementales et sociétales. JLR
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