La version électronique de Supply Chain Magazine est en ligne à partir d'aujourd'hui. Et pour la première fois il est compatible avec les tablettes et les smartphone ! Dans ce numéro de janvier-février vous pourrez découvrir le reportage photos de la 11e cérémonie des Rois de la Supply Chain ainsi qu'un compte-rendu du Forum des Rois (présentation des dossiers en compétition au cours de la journée). Dans ce même numéro, le retour d'expérience de PSA Vesoul « au cœur de la refonte du réseau pièces de rechange du groupe ». Reportages également chez CNB Yachts qui surfe avec succès sur la vague du numérique ainsi que chez XPO Logistics et son client Sarenza.com. Enfin, vous apprendrez comment Andritz Euroslot optimise ses frais de douanes et de TVA en cross-trading. Pour son premier numéro de l'année, Supply Chain Magazine vous propose un grand dossier « Cosmétiques », qui décortique, témoignages et interviews à l'appui, les Supply Chains des acteurs du marché. Si vous voulez savoir comment 23 groupes européens abordent leur Supply Chain dans leurs rapports annuels, nous vous recommandons l'étude réalisée par Bp2r qui apporte un éclairage pertinent sur le sujet. Ne ratez pas non plus l'enquête e-commerce qui démontre, à partir d'exemples concrets, que « la performance n'attend pas le nombre de colis ». Enfin, la rubrique Management est consacrée ce mois-ci « au fait religieux en entreprise ». Quant aux Ailes de la Supply Chain, c'est Chantal Ledoux, DG de Boa Concept qui est mise à l'honneur. Bonne lecture ! Pour accéder directement à la version électronique de Supply Chain Magazine Pour vous abonner gratuitement à la version papierPour accéder directement à la version électronique de Supply Chain Magazine Pour vous abonner gratuitement à la version papier
A l'occasion du salon SITL-Intralogistics qui se déroule cette année du 14 au 16 mars à Paris, Porte de Versailles, Supply Chain Magazine vous propose un numéro spécial de 156 pages comprenant un guide des nouveautés présentées par les exposants lors de cette manifestation. Dans ce même numéro vous découvrirez également une enquête Retail qui évoquera les organisations mises en œuvre par les distributeurs dans le cadre des opérations de fusion-acquisition passées ou en cours de réalisation. Vous trouverez aussi un grand dossier dédié aux nouvelles approches dans le domaine de la planification (analytics, prédictif, prévisions collaboratives...). Quant à la rubrique « Pour vos appels d'offre » elle sera consacrée aux plates-formes collaboratives « transport ». Ne ratez pas ce numéro, de mars, qui en plus de sa diffusion aux abonnés sera largement diffusé sur le salon. Contact pour la publicité : audrey.zugmeyer@scmag.fr / 01 41 79 56 21.
L'immobilier logistique européen intéresse plus que jamais l'investisseur et gestionnaire d'actifs immobiliers AEW, via son fonds Logistis. C'est en Italie du Nord qu'a été réalisée une de leur dernière opération en date : l'acquisition des 127.100 m² du Campus Logistique que l'opérateur logistique d'origine danoise DSV possédait à San Pietro Mosezzo, à 60 km à l'ouest de Milan. En l'occurrence au bord de l'axe autoroutier Milan-Turin, en lien direct avec l'aéroport milanais et le port international de Gênes. Mais DSV entend rester dans les murs, la transaction ayant pris la forme d'un lease-back, donc d'une cession assortie d'une mise à disposition du bien par le nouveau propriétaire. L'opération marque à la fois l'extension de la présence de Logistis en Italie, où son portefeuille approche les 330.000 m², et le renforcement de ses liens avec un acteur logistique majeur comme DSV. Avec cette acquisition, le fonds indique avoir réalisé plus de 70% de son programme d'investissement, compte tenu notamment des 1,5 Md€ investis sur 2015-2016. Mais de nouvelles opérations sont déjà en vue en Italie et ailleurs en Europe, où Logistis totalise déjà plus de 2,5 millions de m² de plateformes logistiques Prime, occupées à 99%. Soit actuellement 99 actifs immobiliers de Classe A, dont 36 encore en développement, répartis sur 39 sites dans 8 pays européens. Ce portefeuille est aujourd'hui estimé à 2 Md€ mais l'ambition de Logistis est de l'étendre pour dépasser les 3 Mds€. Notons que pour cette transaction italienne, AEW était conseillé par Chiomenti et REAG, et DSV par BonelliErede et Cushman & Wakefield. MR
Smart-Flow présente aujourd'hui le Smart Flowbox, un concept destiné à faire des économies d'échelle en matière de transport à réduire l'empreinte carbone. En effet, qu'il s'agisse du transport des marchandises sur site ou intersites, depuis les usines de production jusqu'aux points de vente, cet équipement a été pensé pour augmenter la capacité de charge des camions et donc de diminuer le volume des flux d'amont en aval et éventuellement d'aval en amont. Dotée d'un système télescopique permettant la superposition des palettes sans altérer le chargement, cette solution offre la possibilité charger l'équivalent de 58 palettes par camion. De plus, la gestion des palettes hétérogènes ne sera plus une contrainte pour les transporteurs et logisticiens puisque le système est proposé en plusieurs tailles (80x120 ou 100x120cm) afin de s'adapter aux différentes dimensions des palettes pouvant être chargées dans les véhicules. Ses montants télescopiques ont été étudiés pour s'adapter aux différents volumes de chargement, avec une hauteur ajustable de 60 cm à 1,20 m avec 1 pas tous les 5 cm. Le système est muni d'une sangle de sécurité avec enrouleur et d'un filet extensible pour assurer le maintien des colis et éviter tout basculement. Sa structure en aluminium et en plastique rigide lui garantit une grande robustesse et résistance. A noter qu'il peut supporter des charges allant jusqu'à 600 kg alors que le système en lui-même ne pèse que 40kg. Même le volume du système à plat a été étudié pour optimiser le nombre de box pliées pouvant être transportées dans un camion, avec au total 264 pièces soit 33 piles de 8 Smart Flowbox. JPG
Plutôt discret sur le sujet, Fedex étudie de près les technologies à même d'automatiser la livraison des colis à moyen terme. Rob Carter, son Chief Information Officer, s'est entretenu avec nos confrères de la MIT Technology Review et a révélé ses ambitions et son intérêt en matière d'automatisation. Bien que fan de drones à titre personnel, ce dernier ne croit pas réellement aux drones en tant que solution de livraison urbaine en raison d'une législation peu réceptive et par soucis de sécurité, notamment vis-à-vis des enfants et des animaux. Il considère également leurs capacités (poids et distance) trop limitées ce qui les rend selon lui inefficaces par rapport aux moyens de transports terrestres. Rob Carter croit par contre dur comme fer à l'automatisation des camions de livraison et de leurs chauffeurs. Il se dit très intéressé par les systèmes de véhicules autonomes présentés par Volvo et Freightliner (Daimler) et estime que l'on verra des cas d'implémentations concrètes dans les 10 ans à venir. Complétés par des robots livreurs, qui sonneraient à la porte comme un vrai facteur, ceux-ci pourraient contribuer à améliorer le service client et la ponctualité de la livraison. Pour l'heure, Rob Carter révèle que Fedex travaille avec Peleton Technology afin d'étudier les possibilités de faire rouler ses camions en formation serrée. Enfin, Fedex aurait développé une application d'intelligence artificielle qui, couplé à un « assistant » de type Google Home ou Amazon Echo, pourrait très prochainement préparer une expédition en lui dictant les instructions. Le tout sans remplir le moindre formulaire pour une expérience client inédite. PM Photo :Rob Carter