Prestataire logistique basé en Nouvelle-Calédonie, Socalog a déployé sur ses trois entrepôts la version web du WMS Reflex de l’éditeur Hardis. Sur ces sites d’une surface totale de 18 000 m² qui assurent le stockage de 9 000 références de produits alimentaires et DPH, le logisticien s’appuyait jusqu’ici sur la version C/S de la solution. Opérationnelle depuis septembre, la nouvelle mouture du WMS va lui permettre une mise en oeuvre plus rapide de nouveaux processus mécanisés et/ou robotisés. « La version web de Reflex embarque de nouvelles fonctionnalités, offre plus de souplesse et est plus ergonomique du point de vue opérationnel et technique », indique Kévin Toumen, responsable méthodes et process de Socalog. Dans le cadre de sa stratégie, le prestataire souhaitait compléter ses activités de préparation de commandes traditionnelles par des prestations logistiques pour l’e-commerce, optimiser le stockage de ses produits de petite taille à gérer de manière unitaire et mécaniser l’un de ses entrepôts. La migration de Reflex WMS C/S vers Reflex WMS Web a ainsi été couplée à la solution de voice-picking Reflex Voice. « Les terminaux Android sont connectés en Bluetooth aux casques des opérateurs afin que ces derniers puissent avoir les deux mains libres pour préparer les commandes », rappelle Kévin Toumen. Selon le communiqué, Socalog a aussi optimisé la gestion des quelques 23 000 palettes stockées sur ses sites grâce à WMS Reflex Web. Dans les prochaines semaines, le prestataire activera en outre un module de gestion des matières dangereuses conçu pour les sites classés ICPE. Un projet de mécanisation d’un des entrepôts de Socalog est prévu dans un deuxième temps. « Avec cette évolution, nous sommes désormais prêts pour intégrer de nouveaux modèles opérationnels robotisés et/ou automatisés, et proposer à nos clients de nouvelles solutions logistiques. » conclut Kévin Toumen. AD