Distributeur omnicanal de matériel informatique et high-tech, le Groupe LDLC a vu son CA s’emballer de plus de +46% pour atteindre 724 M€ sur une année 2020 largement sous le signe de la crise sanitaire. À périmètre constant, cette croissance est certes de l’ordre de +25%, mais l’effet d’entrainement de ses ventes en ligne a été décisif même si son réseau de près de 60 magasins est resté dans le tempo. Avec plus de 50 000 références multi-marques disponibles en 24 à 48h, l’activité e-commerce de LDLC a connu des pics d’expédition atteignant 25 000 colis par jour. Ses clients de la région parisienne ont notamment bénéficié d’un projet d’automatisation mis en œuvre en 2019 avec Dematic sur son entrepôt francilien de Gennevilliers : un système de stockage / préparation AutoStore y a été installé sur à peine 160 m² mais avec 5 000 bacs à la clé, manutentionnés par 4 robots R5. Le système héberge 1 500 références « triées sur le volet pour pallier aux besoins critiques et commandes urgentes », telles que des cartes graphiques, cartouches d’encre ou même des PC portables, devenues éligibles à une livraison le jour même pour les clients de la capitale. Une formule particulièrement pertinente pour répondre aux besoins des professionnels et particuliers en télétravail. Partenaire-intégrateur d’AutoStore depuis 2017, Dematic a proposé et déployé cette solution afin de répondre aux problématiques de LDLC en termes d’encombrement et de densité du stockage, vu le prix du m² en région parisienne, et d’efficacité des préparations pour assurer les livraisons dans un timing aussi serré. « La clientèle cible de notre entrepôt parisien est totalement différente de celle de nos deux autres sites logistiques de Lyon et Nantes. Tel un vrai hub urbain, on s’adresse ici à des particuliers ou des entreprises situés en plein centre-ville et qui désirent une livraison plus rapide. Ce système AutoStore nous permet à la fois d’augmenter notre chiffre d’affaires, de pérenniser notre service client et d’asseoir notre notoriété en région parisienne », relève Rémi Helmstetter, directeur Logistique du Groupe LDLC. MR