La première mise en œuvre de Reflex WMS dans une usine a commencé fin 2018 chez Renault sur le site MCA de Maubeuge, dans le cadre d’un accord de partenariat avec Hardis Group visant à accélérer la digitalisation de la supply chain du constructeur automobile à l’échelle mondiale. Depuis, le logiciel de gestion d’entrepôt (dans sa version Reflex WMS for Factory) a fait l’objet d’un core model adapté aux spécificités logistiques et SI de Renault Group (ERP, MES, TMS…). Et celui-ci a été déployé à ce jour dans 14 sites du groupe (sur une trentaine au total) en Europe, au Maghreb et en Amérique du Sud. Selon le communiqué d’Hardis, les principaux bénéfices constatés sont un gain de 10 à 15% en termes d’espaces de stockage, de stocks et de performance des flux pièces en bord de chaîne (avec un monitoring en temps réel), une traçabilité accrue des composants, une réduction de l’empreinte carbone (zéro papier et gestion durable des emballages) et la simplification des opérations d’intégration de nouveaux prestataires logistiques au sein de l’usine. Dans les prochains mois, Renault va en outre tester le module Labor Management System de Reflex pour « aller chercher d’autres gisements de performance logistique ». JLR