Il fait plus de 200 pages et s'adresse aux entreprises, quel que soit leur taille, qui sont soit des opérateurs d'activités logistiques (OAL), soit des donneurs d'ordre (DO). « Ce n'est pas un label, ni une norme, il faut le voir comme un guide qui va permettre de structurer la démarche de responsabilité sociétale, en particulier pour les TPE, PME et ETI, et de faciliter les échanges entre donneurs d'ordre et prestataires, notamment lors des appels d'offres » a déclaré Thibaut Limon, chargé d'études en économie des transports à la DGITM, lors du séminaire de lancement du référentiel RSE en logistique, vendredi dernier au ministère de l'Économie et des Finances. Cette méga boîte à outils, très complète, est le fruit de presque trois ans de travaux, dans le cadre d'un processus de co-construction avec l'ensemble des parties prenantes. Il a débuté avec les travaux de la section thématique de la CNS (Commission nationale des services) intitulée « logistique et supply chain » (présidée par Laurent Grégoire), et s'est poursuivi dans le cadre de la stratégie France Logistique 2025. (voir suite) JLR
Laurent Grégoire (président de la Chaire Supply Chain
de Centrale Supélec et Thibaut Limon (chargé d'études
en économie des transports à la DGITM) lors du lancement du référentiel RSE en logistique, devant 250 acteurs du secteur réunis au ministère de l'Économie et des Finances. ©JL-Rognon
Laurent Grégoire (président de la Chaire Supply Chain
de Centrale Supélec et Thibaut Limon (chargé d'études
en économie des transports à la DGITM) lors du lancement du référentiel RSE en logistique, devant 250 acteurs du secteur réunis au ministère de l'Économie et des Finances. ©JL-Rognon