Les trois grands piliers de la RSE (environnement, social et économie) sont abordés au travers de 7 champs d'action, chacun englobant un ou plusieurs enjeux (cf chiffre indiqué entre parenthèses) : gouvernance (1), droits de l'Homme (2), social (6), environnement (8), loyauté des pratiques (3), enjeux liés aux clients/consommateurs (3), implication dans les territoires (4). Le référentiel compte au total, cinq fascicules : le premier est une entrée en matière, le deuxième permet d'identifier et de hiérarchiser les enjeux (parmi un total de 27) pour son entreprise, le troisième aide à fixer des objectifs stratégiques (avec des exemples de fiches pratiques pour déployer et mettre en œuvre des actions RSE en logistique), le quatrième fascicule accompagne le pilotage de la performance RSE et le choix d'indicateurs utiles (notamment entre donneurs d'ordre et prestataires), et enfin le 5ème rassemble les documents de référence en annexe. Le tout est une vraie mine d'informations, mais ce n'est pas un mode d'emploi : chaque entreprise doit trouver sa propre voie, en s'appuyant notamment sur la notion de « matrice de matérialité » (fascicule 2), un outil permettant d'identifier et de hiérarchiser ses propres enjeux en matière de RSE , entre les « quick wins » et les enjeux à plus fort impact. D'ici janvier, une vingtaine d'entreprises ont accepté de ses prêter à l'exercice de la hiérarchisation des enjeux parmi lesquelles Carrefour Supply Chain, Chep, Coca-Cola, FM Logistic, Jolival, Kuehne+Nagel, Martin Brower, Rautureau, les transports Cordier, Derval, et Premat, TSD, Schenker, SNCF Logistics, Stef ou encore Viapost. JLR
Pour consulter le référentiel et ses fascicules
Matrice de matérialité simplifiée des enjeux RSE en logistique
Pour consulter le référentiel et ses fascicules
Matrice de matérialité simplifiée des enjeux RSE en logistique