Installé en Grande Bretagne, l'américain Pfizer estime
à 100 M$ le coût de la rupture entre le royaume et l'UE. Cette somme comprend le transfert vers le continent de tests de produits et de licences, ainsi que la mise en place de nouvelles procédures de tests et un ensemble de mesures de prévention du risque. Le département britannique de la santé conseille en effet aux acteurs pharmaceutiques de constituer un stock de produits de six semaines au cas où l'entrée en vigueur des nouveaux accords commerciaux occasionnerait des retards de livraison. Pour l'heure, Pfizer œuvre à la mise en conformité de ses produits avec la règlementation européenne, une complexité supplémentaire touchant la production et la Supply Chain et résultant de l'impossibilité de les faire homologuer une fois pour toutes en Grande Bretagne. PM
à 100 M$ le coût de la rupture entre le royaume et l'UE. Cette somme comprend le transfert vers le continent de tests de produits et de licences, ainsi que la mise en place de nouvelles procédures de tests et un ensemble de mesures de prévention du risque. Le département britannique de la santé conseille en effet aux acteurs pharmaceutiques de constituer un stock de produits de six semaines au cas où l'entrée en vigueur des nouveaux accords commerciaux occasionnerait des retards de livraison. Pour l'heure, Pfizer œuvre à la mise en conformité de ses produits avec la règlementation européenne, une complexité supplémentaire touchant la production et la Supply Chain et résultant de l'impossibilité de les faire homologuer une fois pour toutes en Grande Bretagne. PM